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Éloge de la Fessée érotique

Pour moi, la croupe est la plus belle partie du corps féminin. Je ne me lasserai jamais de contempler ces courbes sensuelles, ces monts bombés, ces vallées qui convergent en une unique et mystérieuse crevasse. Et quoi de plus voluptueux contrepoint à cette douceur que la fermeté d’une claque bien dosée ?
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Bien fesser est un art : un équilibre subtil entre douleur et plaisir — un peu de douleur, pour beaucoup de plaisir. C’est une alchimie qui change à chaque rencontre, selon chaque partenaire. Le but est toujours le même : la conduire à la plus grande volupté.

Le postérieur est une zone érogène d’une intensité insoupçonnée. Une fessée progressive, précédée de caresses, fait affluer le sang vers le bassin, préparant le terrain d’un plaisir plus profond encore. Une bonne fessée épouse le rythme du coït et, sans pénétration, peut conduire à l’orgasme. C’est, à mes yeux, une forme d’amour — directe, primitive, sublime.

La fessée, comme le piment, peut brûler. Mais le goût est voluptueux, les effets libérateurs. Elle déclenche la production d’endorphines, ces hormones du plaisir qui plongent le corps dans une détente euphorique.

Plusieurs de mes partenaires m’ont confié le plaisir intense qu’elles ressentent simplement en étant placées sur mes genoux, retournées, courbées, exposées. Le dos, la nuque, les fesses : tout l’arrière du corps devient territoire sensible. Et c’est là, dans cette posture d’abandon, que l’inconscient s’exprime.

Quand les fesses se trouvent plus haut que le visage, quelque chose d’animal ressurgit. Quelque chose d’archaïque, de profondément enfoui. Et c’est au fesseur, dans cette position de maîtrise, de canaliser ces instincts, de les sublimer. C’est, je crois, l’un des secrets les plus profonds du plaisir de la fessée — pour chacun de ses acteurs.
Recevoir la fessée, c’est s’abandonner à un partenaire en qui l’on a pleinement confiance. La donner, c’est observer avec attention chaque frémissement, chaque respiration, chaque expression de cette croupe offerte, devenue aussi expressive qu’un visage. La face cachée du désir remonte alors à la surface, et s’exprime dans un mélange de douceur et de feu.
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Octavio Paz rappelle qu’en espagnol, on appelle parfois les fesses la cara con un solo ojo — la face avec un seul œil. C’est un autre visage, inversé, qui vous regarde en cyclope. La fessée nous met face à ce mystère-là.
Elle permet aussi d’explorer des pulsions profondes — parfois sadomasochistes — sans entrer dans les jeux de pouvoir complexes du SM. Pratiquée pour elle-même, sans pénétration, elle devient pure érotisme. Une voie à part entière. Et c’est ainsi que je la pratique : avec tendresse, avec écoute, avec l’intention constante d’amener ma complice au plaisir, à l’orgasme, à l’extase.


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Et si cela ne suffisait pas à vous convaincre, Mesdames, laissez-moi ajouter ceci :
une bonne fessée est aussi un massage… mais un massage tout particulier.
Vigoureux, rythmique, profond, il réveille la chair, stimule la circulation, fait vibrer les tissus sous la peau.
Oui, la fessée raffermit. Elle fait se redessiner les courbes, les rend plus vivantes, plus pleines.
Elle sublime vos fesses — et ce, au sens propre comme au sens figuré
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